On pense suivre l'actualité, et certaines choses te passent quand même sous le nez.
Belle découverte, et au premier abord cela me rappelle Dorohedoro. Pas de panique, le seul point commun se situe dans le mélange de scènes de la vie de tout les jours avec des personnages extraordinaires, ainsi que le travail du trait (si, si, je te jure, il y a des similitudes, believe me Senpai !).
Ce n'est pas un thème si rare, et le contraste que cela apporte est assez apaisant. Sans trop réfléchir, on pourrait citer KumaMiko (la petite fille et l'ours) ou Shirokuma Cafe (la vie de tout les jours, parfois ennuyante, d'animaux anthropomorphiques) et je me demande si le maitre en la matière ne serait pas simplement Taniguchi (pour l'ambiance lente et comfy, uniquement, on est bien d'accord).
N'ayant pas encore lu ce titre, l'esthétique semble vraiment belle et maitrisée.
De loin, et en me trompant sans doute lourdement, les personnages féminins représentent la vie humaine simple et les personnages masculins la société morbide (où ... plus orienté Miyazaki, une représentation du retour à la nature protectrice ?).
TELLEMENT D'INTERPRÉTATIONS POSSIBLES !
©Antoine DanielAvec l'oeil de l'occidental, on peut aussi penser à la "Métamorphose" de Kafka. Mais je conçois m'éloigner encore plus, car certaines références au Shintoïsme et à leur mythes locaux sur la nature doivent me manquer.
L'auteur s'inspire en plus d'esthétiques européennes, alors salut, et au revoir, il va falloir se lever tôt pour être en phase.
- Citation :
- C'est toujours touchant de voir une autre auteur dériver non loin de soi... en ce moment je lis presque pour vérifier que je ne me suis pas fait doubler...
Je vois ce que tu veux dire, malgré la différence de genre.
Tu crois ?